Elle a, très jeune, appréhendé formes et couleurs des tableaux de maître, apprécié l'onirisme des oeuvres de Léonor Fini, la douceur du style de Marie Laurencin, l'élégance des portraits féminins de Van Dongen ; elle a rencontré des professeurs de dessin qualifiés, fréquenté plusieurs ateliers, l'école des Beaux-Arts de Rouen, transporté "en plein air" palette, toile et pinceaux...
Mais elle a assimilé les "techniques" enseignées : aquarelle, huile, acrylique, maîtrisé nature morte, portrait, paysage, scène de genre, d'histoire.
Fleurs aux pétales veloutés, subtilement nuancées, nimbées de rose et de gris ;
femmes aux lignes diaphanes, le visage perdu dans le bleu laiteux du ciel ou au profil nettement souligné par le trait acrylique ;
gentilhommières campées en quatre traits et trois couleurs, embrassées de feuillage mousseux, château aux sombres tourelles aiguisées, enchâssé dans une violence d'orage ;
paysages aux huiles vives évoquant son Maroc aimé ;
jardins mystiques dont le symbolisme traduit sa sensibilité profonde :
une palette aux vibrations multiples mais harmonieuses.
Mais elle a assimilé les "techniques" enseignées : aquarelle, huile, acrylique, maîtrisé nature morte, portrait, paysage, scène de genre, d'histoire.
Fleurs aux pétales veloutés, subtilement nuancées, nimbées de rose et de gris ;
femmes aux lignes diaphanes, le visage perdu dans le bleu laiteux du ciel ou au profil nettement souligné par le trait acrylique ;
gentilhommières campées en quatre traits et trois couleurs, embrassées de feuillage mousseux, château aux sombres tourelles aiguisées, enchâssé dans une violence d'orage ;
paysages aux huiles vives évoquant son Maroc aimé ;
jardins mystiques dont le symbolisme traduit sa sensibilité profonde :
une palette aux vibrations multiples mais harmonieuses.